Depuis quelques années, on assiste à une recrudescence de patients présentant des réactions cutanées typiques, très douloureuses, associées à une grande fatigue. Ces symptômes sont déclenchés par un virus : le ZONA.
La plupart d'entre nous porte le virus du zona. Son origine : la varicelle. Et oui, la primo-infection, ce premier contact, a lieu pendant la petite enfance : les virus de la varicelle et du zona ne font qu'un.
Lors de la varicelle, le virus pénètre et se multiplie dans les voies aériennes supérieures, passe dans le sang, puis atteint la peau, sa principale cible. Là, il induit une éruption vésiculaire caractéristique ayant la forme de petites gouttelettes : la varicelle.
Une fois l'éruption disparue, le virus varicelle-zona s'installe dans les ganglions nerveux sensitifs du dos et du crâne (racines rachidiennes postérieures, crâniennes, dorsales) où il demeurera définitivement.
Des années plus tard, il peut se réactiver et entraîner l’apparition d’un zona.
Sa réactivation dépend de facteurs particuliers, dont les principaux sont :
Notre organisme porte aussi en nous nos tensions passées qu’elles soient d’origine mécanique, énergétique et/ou psychique.
Lorsque ses capacités d’adaptation sont dépassées, notre corps n’a pas d’autre choix que de déclarer divers symptômes lui permettant ainsi de nous envoyer le message : "Aide-moi ! Il faut me rééquilibrer !"
L’apparition d’un zona n’est pas un hasard ! Il se déclenche lorsque la personne est affaiblie. Nous retrouvons toujours un contexte de fatigue, de stress, de perturbations émotionnelles associé à des tensions et des manques de mobilité mécanique.
C’est pour cela que la localisation du zona est unique pour chaque personne. Le zona réapparaît et s’installe toujours sur des zones de convergence de tensions.
Quels sont les symptômes du zona ?
Le zona prend toujours la même forme : une éruption localisée (contrairement à la varicelle qui, elle, est générale), faite de vésicules disposées sur une peau rougie, d'un seul côté du corps.
Ces lésions se situent toujours sur le trajet d'un nerf sensitif et sont situées sur la zone énergétique perturbée ainsi que sur les articulations en manque de mobilité.
Le plus souvent on trouve cette éruption sur :
En quelques jours, les vésicules sèchent et des croûtes se forment. Ces dernières tombent au bout d'une dizaine de jour et laissent place à d’éventuelles cicatrices.
Outre ses désagréments cutanés, le zona provoque des douleurs névralgiques intenses qui peuvent, soit précéder l'éruption (pendant 1 à 3 jours, voire une semaine avant), soit l'accompagner. Et parfois, persister longtemps après la guérison.
Ces douleurs prennent la forme :
D'autres symptômes sont souvent présents lors de l'éruption :
L'évolution du zona
L’évolution d'un zona est en général bénigne (90 % des cas). Comme le zona peut atteindre toutes les parties du corps, la gravité dépend de la localisation du trajet nerveux qu'il a décidé de suivre.
Que faire pour éviter l’apparition du zona ?
Comme nous l’avons vu, le virus du zona est en nous. Pourtant, tout le monde ne le déclenche pas !
Lorsque notre organisme est équilibré, il possède les moyens de contrôler ce virus (comme des millions d’autres).
C’est pour cela que le premier traitement pour éviter son apparition est en amont : LA PRÉVENTION.
Quels traitements ?
En premier lieu, allez voir votre médecin :
Puis, 8 jours après la prise du traitement médical, il est recommandé de mettre en place une séance de rééquilibrage de votre organisme qui permettra :
Ainsi, avec cette prise en charge globale de cette pathologie (traitement médical et le rééquilibrage du corps et de l’esprit) :
Il est aussi recommandé de mettre en place une nouvelle séance de rééquilibrage à distance de la crise (entre 3 et 6 mois) :
LES BONS RÉFLEXES À ADOPTER PENDANT LA CRISE
Il faut savoir que le liquide contenu à l'intérieur des vésicules renferme des virus de la varicelle. Ce liquide est donc contagieux et il peut transmettre la varicelle aux personnes qui ne l'ont jamais eue.
En revanche, vous ne pouvez pas transmettre le zona à une autre personne, mais :